Le chant rauque de l'absence : roman
Paris : Albin Michel, 2002.
235 p. ; 23 cm.
Une enfant élevée par ses grands-parents raconte la douleur causée par l'absence de son père, mort dans un accident alors qu'elle avait six mois, et l'abandon de sa mère incapable de s'occuper d'elle. Un premier roman "bouleversant et pudique", selon «Notes bibliographiques». [SDM]
On ne voyait que le bonheur : roman
Paris : JC Lattès, [2014]
363 pages ; 21 cm.
Étrange. Style vraiment particulier. Déroutant. Mais au fur et à mesure que l'histoire se déroule, les pièces du puzzle se mettent en place : les personnages, les situations vraiment particulières et une fin inattendue qui justifie en somme le titre du roman que l'on met en doute tout au long de la lecture. J'ai beaucoup aimé. Premières lignes : « Une vie, et j’étais bien placé pour le savoir, vaut entre trente et quarante mille euros. Une vie ; le col enfin à dix centimètres, le souffle court, la naissance, le sang, les larmes, la joie, la douleur, le premier bain, les premières dents, les premiers pas ; les mots nouveaux, la chute de vélo, l’appareil dentaire, la peur du tétanos, les blagues, les cousins, les vacances, […] les potes, les filles, […] les trahisons, le bien qu’on fait, l’envie de changer le monde. […] Entre trente et quarante mille euros si vous vous faites écraser. Vingt, vingt-cinq mille si vous êtes un enfant. Un peu plus de cent mille si vous êtes dans un avion qui vous écrabouille avec deux cent vingt-sept autres vies. Combien valurent les nôtres ? » [Club des Irrésistibles]
8
Gros caractères
On ne voyait que le bonheur : roman
Versailles : Feryane, [2014]
367 pages (gros caractères) ; 22 cm.
Étrange. Style vraiment particulier. Déroutant. Mais au fur et à mesure que l'histoire se déroule, les pièces du puzzle se mettent en place : les personnages, les situations vraiment particulières et une fin inattendue qui justifie en somme le titre du roman que l'on met en doute tout au long de la lecture. J'ai beaucoup aimé. Premières lignes : « Une vie, et j’étais bien placé pour le savoir, vaut entre trente et quarante mille euros. Une vie ; le col enfin à dix centimètres, le souffle court, la naissance, le sang, les larmes, la joie, la douleur, le premier bain, les premières dents, les premiers pas ; les mots nouveaux, la chute de vélo, l’appareil dentaire, la peur du tétanos, les blagues, les cousins, les vacances, […] les potes, les filles, […] les trahisons, le bien qu’on fait, l’envie de changer le monde. […] Entre trente et quarante mille euros si vous vous faites écraser. Vingt, vingt-cinq mille si vous êtes un enfant. Un peu plus de cent mille si vous êtes dans un avion qui vous écrabouille avec deux cent vingt-sept autres vies. Combien valurent les nôtres ? » [Club des Irrésistibles]
Oublier Klara : roman
[Paris] : Audiolib, [2019]
1 disque audio (8 h 18 min) ; 12 cm.
11
Livre
Rien à perdre : roman
[Paris] : T. Magnier, 2007.
175 p. ; 21 cm.
Le lendemain de l'enterrement de sa petite soeur Sita, morte sous les roues d'un tracteur qu'elle conduisait, Tess, seize ans, est envoyée chez sa tante Élizabeth où elle travaillera comme serveuse, renonçant ainsi, sous ordre de son père, qui la tient pour responsable, à ses études pour devenir agricultrice bio. Après une semaine chez sa tante, l'adolescente décide de retrouver sa mère, partie abruptement il y a quatre ans pour suivre une carrière de danseuse, afin de lui annoncer la nouvelle de la mort de Sita... - Roman, ponctué de quelques invraisemblances, abordant la question de la culpabilité, du deuil et du pardon. Le tout semble se clore sur une fin positive qui annonce un changement dans les relations familiales (père/fille et mère/enfants). [SDM]