Description |
256 pages : principalement des illustrations en couleur ; 28 cm. |
Note |
Traduction de: City of secrets. |
Résumé |
Depuis que son père lui a fait découvrir les moindres recoins du centre de communications de la cité d'Oskars, un vieux bâtiment de six étages dont chaque partie est mobile grâce à des mécanismes compliqués, l'orphelin Ever Barnes y vit caché, nourri par la bonté de quelques opératrices de téléphone qui y travaillent. Seul le garçon connaît ainsi le lieu qui pourrait sauver toute la ville, advenant le cas où un malheur s'abattrait sur celle-ci: un gigantesque coffre-fort. Lorsque son père visite l'édifice qu'il a récemment acquis, la jeune Hannah, riche héritière, l'accompagne et apprend l'existence d'Ever. Elle se dit à ce moment que l'enfant doit être bien seul et cherche à entrer en contact avec lui, mais ce dernier préfère demeurer dans l'ombre, car quiconque s'associant à lui pourrait devenir à son tour la cible de malfrats, qui tentent par tous les moyens d'acquérir le secret de son défunt père. [SDM] |
Critique |
Une volumineuse bande dessinée qui se décline en grandes cases peintes à l'encre et à l'aquarelle afin de se plonger dans un univers riche, rappelant le steampunk sans déployer trop d'inventions complexes. Comme Hannah, le lecteur sera rapidement fasciné par l'édifice, construit tel un casse-tête et qui peut s'avérer parfois dangereux, mais également par Ever, un garçon très discret dont on découvre néanmoins le triste passé et le secret associé à ce dernier. On se prend ainsi d'affection pour ce duo bien campé, mais aussi pour les adultes (majoritairement féminins) qui gravitent autour d'eux, ceux-ci se dévoilant pleins de ressources tout en possédant leur propre part d'ombre. [SDM] |
Public cible |
E++J+ 5. |
ISBN |
9791036326547 (relié) |
Autre titre |
City of secrets. Français |
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