Regards critiques sur la consommation : pour une conversion écologique
Montréal : Novalis, 2012.
95 p. ; 19 cm.
La cause fondamentale de la crise écologique, son moteur intrinsèque, est la consommation. Il faut plutôt dire la société de consommation. On ne peut vivre sans consommer, c’est bien sûr, sans boire ou manger, sans vêtement, sans abri, sans instruction et ainsi de suite. Le défi du pain quotidien est incontournable. Mais la société de consommation, c’est bien autre chose qu’une société prospère.
6
Livre
Révolte consommée : le mythe de la contre-culture
Outremont : Trécarré, 2005.
428 p. ; 22 cm.
"Dans un savant mélange de fines observations sociologiques, de philosophie et de culture populaire, Heath et Potter s'interrogent sur les mécanismes régissant le développement de la contre-culture, sur la notion du consommateur rebelle, sur la justice sociale et sur les actions à entreprendre pour transformer les consommateurs en citoyens." (cf. quatrième de couverture). [SDM]