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Auteurs (1-2 de 2)
Amini-Holmes, Liz

1

Livre  
Les bas du pensionnat : une histoire vraie
Toronto : Scholastic, c2011.
104 p. : ill. (principalement en coul.), carte ; 23 cm.
Curieuse et entêtée, sachant qu'elle y apprendrait à lire comme sa soeur, Olemaun Pokiak demande à ses parents de l'envoyer à l'école des Blancs. Après plusieurs refus, son père fléchit, mais la prévient que la vie au pensionnat catholique d'Aklavik ne sera pas rose. On tentera d'y polir sa culture d'Inuvialiut en lui donnant un nom occidental, en lui coupant les cheveux, elle lui faisant effectuer de dures corvées tout en lui imposant une discipline autoritaire. Forte de son désir de savoir lire un jour, l'enfant de 8 ans quitte son petit univers familier de l'île de Banks pour rejoindre, après cinq jours de voyages en mer, les Territoires du Nord-Ouest. Aguerrie, elle en ressort quelques années plus tard amère et blessée mais sans y avoir oublié qui elle est et d'où elle vient.



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2

Livre  
Étrangère chez moi : une histoire vraie
Toronto : Scholastic, c2012.
124 p. : ill. (principalement en coul.), carte ; 23 cm.
Curieuse et entêtée, sachant qu'elle y apprendrait à lire comme sa soeur, Olemaun Pokiak a voulu fréquenter l'école des Blancs. Après deux ans d'absence durant lesquelles on a gommé sa culture d'Inuvialiut, tout en lui imposant de dures corvées, Olemaun revient chez elle. Elle peine cependant à renouer avec ses anciennes habitudes alimentaires et vestimentaires autochtones. Puisque sa famille ne retourne pas sur l'île de Banks et demeure à Tuk, où son père peut travailler pour la GRC, la jeune fille parvient très difficilement à communiquer avec les siens, sauf avec son amie Agnès qui revient elle aussi d'Aklavik, malgré que leurs mères voient d'un mauvais oeil qu'elles parlent anglais. Pour ajouter à sa confusion, sa famille lui interdit la prière et tient à ce qu'elle se plie à leurs habitudes. Son père, qui parle aussi la langue des Blancs, l'aide cependant à reprendre confiance en elle afin qu'elle retrouve sa place avant de devoir repartir. [SDM]



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  Crédit, bandeau Nelligan :
Roseline Granet, Monument à Émile Nelligan (2005).
Square Saint-Louis, arrondissement du Plateau-Mont-Royal, ©Ville de Montréal 2006.