À qui la faute? : roman : réponse à Léon Tolstoï, La sonate à Kreutzer
[Paris] : Albin Michel, 2010.
333 p. ; 21 cm.
Roman autobiographique de celle qui fut l'épouse de l'écrivain durant quarante-huit années parfois difficiles. En prime, ##La sonate à Kreutzer## dans une nouvelle traduction (p. 203-334). [SDM]
3
Livre
L'Agfa box : histoires de chambre noire
Paris : Éditions du Seuil, 2010.
231 p. ; 21 cm.
Autofiction dans laquelle l'auteur se raconte à travers la voix de ses huit enfants. [SDM]
4
Livre
Agnes Grey
[Paris] : Gallimard, 2001.
298 p. ; 19 cm.
Premier des deux romans de l'auteure (cf. «La dame du château de Wildfell», 1848) tuée par la tuberculose. L'"autobiographie fictive" (Jacques Blondel) d'une gouvernante qui quitte le presbytère où habite sa famille et subit patiemment les remontrances et les humiliations d'un couple fortuné et les impertinences de leurs enfants. Mais l'amour entre dans sa vie sous les traits d'un jeune pasteur. Une oeuvre très accessible et harmonieuse. [SDM]
L'album multicolore
Montréal, Québec : Héliotrope, 2014.
270 pages ; 18 cm.
À l'aide d'une abondance de couleurs pour un sujet pourtant sombre, Louise Dupré raconte les derniers temps d'une femme âgée, sa mère. Elle raconte aussi les semaines, les mois qui suivent la disparition de cette femme audacieuse et discrète, puis donne à voir encore des instantanés de sa vie foisonnante...
7
Livre
Amour-- amours-- : roman
Paris : Grasset, 1998.
149 p. ; 21 cm.
L'Algérie nourricière, la Provence lumineuse mais aussi le paysage intérieur d'une femme qui aime, voilà ce qui ressort de ces souvenirs romanesques. [SDM]
L'autofiction
Paris : A. Colin, 2014.
125 p. ; 18 cm.
18
Livre
Bad girl : classes de littérature : récit
Arles : Actes Sud ; [Montréal, Québec] : Leméac, [2014]
263 pages, 1 page non numérotée ; 22 cm.
Un livre incontournable pour celles et ceux qui connaissent bien l'œuvre de cette auteure qui n'a jamais eu froid aux yeux. Pour les autres, un livre qui ne pourra que vous donner le goût de la lire. Mais attention ! Si vous succombez au charme de son écriture, vous en avez pour des années à vouloir partager les réflexions de cette « Bad Girl ». Résumé : « Récit autobiographique sur l'enfance de la romancière, marquée par le départ de sa mère à l'âge de six ans. Un abandon qui habitera pour toujours son imaginaire... Quels sont les facteurs improbables qui transforment une enfant née dans l'Ouest du Canada au milieu du XXe siècle en une romancière et essayiste bilingue et parisienne ? Connaissant les écueils et les illusions du discours sur soi, Nancy Huston tutoie tout au long de ce livre le fœtus qu'elle fut et qu'elle nomme “Dorrit”, afin de lui raconter sur le mode inédit d'une “autobiographie intra-utérine” le roman de sa vie. Arrière-grand-père fou à lier, grand-père pasteur, tante missionnaire, grand-mère féministe, belle-mère allemande, père brillant mais dépressif, déménagements constants, piano omniprésent, mère dont les ambitions intellectuelles entrent en conflit avec son rôle familial ; ainsi la création littéraire devient-elle pour Dorrit la seule manière de survivre. Citant ses mentors, Beckett, Barthes, Gary, Weil, Woolf, mais aussi Anaïs Nin ou Anne Truitt, Nancy Huston traque l'apparition, dans le cheminement de la petite Dorrit, des thèmes qui marqueront son œuvre. Ce livre est fondamental dans la trajectoire littéraire de la romancière. Au plus près du territoire de l'intime, il offre un nouvel éclairage sur son œuvre. » [Club des Irrésistibles]
Bibi : mémoires
Notre-Dame-des-Neiges : Éditions Trois-Pistoles, 2009.
593 p. ; 25 cm.
Où le lecteur retrouve Abel, dit Bibi, dans une voyagerie hallucinée qui l'entraîne de Morial-Mort à l'Éthiopie. Un immense monologue qui brasse et ressasse les thèmes et les fantasmes de l'univers de VLB avec une démesure torrentielle. [SDM]
C'est le coeur qui meurt en dernier : récit
Montréal, Québec : Boréal, [2013]
164 pages ; 22 cm.
Voilà le portrait d'une mère qu'on aimerait unique en son genre ! Femme perpétuellement insatisfaite, frustrée, elle prend toute la place dans ce roman qui se veut un dialogue entre mère et fils. On sort de ce récit un peu désespérée et l'on aimerait trouver davantage chez une mère qu'une victime éternelle, râlante pour tout et rien ; c'est dur pour les enfants qui risquent d'être traumatisés leur vie durant ! Pourtant, l'auteur semble avoir avec elle un certain rapport de tendresse et ne lui en veut pas. J'ai toujours été impressionnée par cette phrase entendue un jour : un critique littéraire québécois disait que dans les films et les écrits de son pays, il n'y avait pas d'espoir, jamais un train qui démarre ou un avion qui s'envole. C'est particulièrement vrai pour ce roman bouleversant de vérité, à ne pas lire si l'on est déprimé. Toutefois, c'est très bien écrit et très vivant. [Club des Irrésistibles]
31
Livre
Cette année s'envole ma jeunesse : récit
Montréal : Québec Amérique, 2009.
122 p. ; 22 cm.
"Dernier volet d'une trilogie commencée avec La Fabrication de l'aube et poursuivie avec Ceci est mon corps, ce livre est moins l'histoire d'un deuil que celle d'une transformation. Dans ses pages se mêlent avec lucidité le souvenir, le temps présent et une perspective apaisée de l'avenir. Il tient à la fois de l'essai, du journal et de l'autobiographie. Mais il constitue surtout le témoignage spontané, libre et touchant d'un homme parvenu à cette étape cruciale où toute existence, parce qu'elle se découvre si éphémère, se modifie en profondeur."-- [L'Éditeur]
32
Livre
La chair du maître
Outremont : Lanctôt, c1997.
311 p. ; 23 cm.
Ce huitième roman de l'auteur se situe dans la veine autobiographique de «Comment faire l'amour avec un nègre sans se fatiguer». Il a pour cadre Haïti à la charnière des années 1970-1980, et pour héros un grand adolescent qui découvre l'érotisme. En 24 chapitres et une centaine de personnages, D. Laferrière a fait le tableau coloré et sensuel, cruel et enchanté, de la vie quotidienne à Port-au-Prince. Dans une entrevue il précise: "c'est un portrait où le sexe, dans sa dimension politique, est dominant". [SDM]
33
Livre
La chambre solitaire : récit
Arles : P. Picquier, 2008.
399 p. ; 21 cm.
Roman autobiographique dans lequel l'auteure évoque la fin de son adolescence, de 16 à 19 ans, alors qu'elle quitte son village pour Séoul où elle devient ouvrière dans une usine avec le fol espoir de suivre des cours du soir et de devenir écrivaine. [SDM]
34
Livre
Changer : méthode
Parix XIXe : Éditions du Seuil, [2021]
331 pages ; 21 cm.
35
Livre
Le charme des après-midi sans fin
Outremont : Lanctôt, 1997.
198 p. ; 23 cm.
Le souvenir, le merveilleux et la tendresse. L'enfance de "Vieux Os" (surnom du jeune Dany). Une succession de récits situés à Petit-Goâve (Haïti) au début des années 1960. L'auteur renoue avec l'humeur autobiographique et les personnages de «L'odeur du café» (1991). Il accorde une place importante à Da, grand-mère très aimée malgré ses petites tendances à la tyrannie. [SDM]
36
Livre
Le charme des après-midi sans fin : roman
Montréal : Boréal, 2010.
241 p. ; 19 cm.
Le souvenir, le merveilleux et la tendresse. L'enfance de "Vieux Os" (surnom du jeune Dany). Une succession de récits situés à Petit-Goâve (Haïti) au début des années 1960. L'auteur renoue avec l'humeur autobiographique et les personnages de ##L'odeur du café## (1991). Il accorde une place importante à Da, grand-mère très aimée malgré ses petites tendances à la tyrannie. Courte postface de l'auteur. [SDM]
37
Livre
Chasse à l'homme
Saguenay (Québec) : La Peuplade, [2020]
193 pages ; 20 cm.
38
Livre
La chasseuse d'astres : roman
Paris : J.C. Lattès, 2014.
329, [4] p. ; 23 cm.
Le portrait croisé de deux femmes en quête de liberté qu'un siècle sépare : Zamia, écrivaine cubaine qui vit avec le poids de la surveillance et de la censure, et Remedios Varo, grande artiste surréaliste espagnole oubliée du début du XXe siècle, qui fut l'amie de Dali, Lorca ou Breton. -- [l'Éditeur].
39
Livre
La chemise de l'écrivain
Québec (Québec) Canada : Le Dauphin blanc, [2013]
213 pages : illustrations en couleur ; 23 cm
Chronique de la dérive douce
Montréal : VLB, c1994.
136 p. ; 23 cm.
Récit-témoignage. Entre fiction et autobiographie. Trois cent soixante-cinq petites proses dans lesquelles l'auteur, raconte sa première année à Montréal, en 1976, frais débarqué d'Haïti et âgé de 23 ans. Un héros débrouillard, ironique, digne, et doué pour l'hédonisme, mais aussi aux prises avec la pauvreté, ses doutes, et l'indifférence des autres. Un court extrait résume bien le ton et l'intention de l'auteur: "vous croyez que c'est simple / quand on vient d'un pays d'été / oú tout le monde est noir / de se réveiller dans un pays d'hiver / où tout le monde est blanc (p. 97). Selon R. Martel, le "premier temps faible dans l'oeuvre de M. Laferrière". Lecture agréable, même si l'auteur ne s'est pas forcé.. [SDM]
42
Livre
Le ciel : roman
Montréal, Québec : Leméac, [2017]
86 pages ; 18 cm.
Comme un ouragan
Saint-Lambert (Québec) Canada : Héritage jeunesse, [2020]
119 pages ; 19 cm.
Ce récit poétique met en scène la voix d'un garçon qui affirme son homosexualité, à travers un monologue capable de réveiller les souvenirs de sa vie passée. Le narrateur s'est toujours senti différent et souvent jugé en regard des attentes des adultes. On lui a reproché de pleurer trop souvent, de s'agiter exagérément à la moindre émotion. En somme, grâce à un texte intimiste et poétique, il révèle sa différence, ce secret qui s'énonce sans arrêt dans sa voix intérieure, dont le fil s'écrit à travers des vers et des calligrammes. [SDM]
Le consentement
Paris : Bernard Grasset, [2020]
205 pages ; 21 cm.
48
Livre parlant
Le consentement
[Paris] : Audiolib, [2020]
1 disque audio (3 h, 53 min) : numérique, fichiers MP3 ; 12 cm.
49
Livre
Le cri des oiseaux fous : roman
Outremont : Lanctôt, c2000.
318 p. ; 23 cm.
Un jeune homme, journaliste ayant reçu une éducation bourgeoise, dont la vie est sans doute menacée - son meilleur ami, un journaliste, vient d'être assassiné - fait ses adieux à Haïti en se rendant une dernière fois dans des lieux qu'il a fréquentés: au conservatoire d'art dramatique, dans une station de radio, dans un hôpital et dans un bordel. Nous sommes au début de 1976; Haïti est soumise à un sinistre régime dictatorial. L'auteur a déclaré que ce roman, son dixième, clôt le cycle de son "autobiographie américaine". Il s'agit d'un récit de formation, d'un roman-témoignage, d'inspiration autobiographique, qui est de belle venue malgré diverses lacunes et bavures bien relevées par Réginald Martel, presque toutes concentrées vers la fin de l'oeuvre. [SDM]
50
Livre
Cru : roman
Montréal, Québec : Leméac, [2014]
107 pages ; 18 cm.